Il n’y a pas une seule façon de retoucher ses images.
Et heureusement !
Car le post-traitement peut véritablement contribuer à créer l’identité d’un photographe.
A marquer son style.
Photoshop

Je t’en ai déjà parlé…
En ce qui me concerne…
Et comme pour beaucoup d’autres photographes…
Le post-traitement sur logiciel (en gros, la retouche photo, mais je préfère employer le terme de « post-traitement »)…
Fait partie intégrante de mon processus de création.

J’ai toujours une idée du rendu final que je veux donner à mes images une fois le post-traitement terminé.
Mais pour être honnête…
Je ne sais jamais vraiment quel sera le vrai résultat de l’image.
Lorsque je post-traite mes photos…
J’avance à tâton.
Je teste des choses…
Souvent j’annule.
Puis je recommence.
Et ce, jusqu’à ce que l’image ait atteint l’aspect qui me convienne.

Pourtant, je connais des techniques à appliquer.
D’ailleurs, je m’en sers tout le temps.
Mais pour les faire « coller » à ce que je veux faire…
Il est nécessaire de s’adapter.
Et ce, en permanence.

Aujourd’hui, je reprends donc pour la troisième fois cette photo d’Hannah-Belle.
Et ce pour te montrer à présent comment je l’ai post-traitée.
Comment j’ai fait en sorte de lui donner cet aspect « peinture ancienne ».
Car, même si j’ai beaucoup tâtonné…
Je savais que ce que je voulais faire…
J’avais une direction…
Et c’était précisément, de lui donner cet aspect « peinture ancienne ».

Tu peux donc visionner la vidéo en suivant ce lien :
https://youtu.be/BlKJx_3YabY

Le but ici :
Te montrer la part qu’occupe le post-traitement dans un travail photographique.
Du moins, dans le mien.

Mais soyons clair…
Si elle occupe autant de place dans mon travail…
C’est aussi parce que j’adore bidouiller sur logiciel.

Peut-être est-ce le cas pour toi aussi !
Je t’invite donc à répondre à ce mail pour m’en dire davantage sur ta pratique.
Sur les difficultés que tu rencontres à ce niveau-là.
Et si cela est important pour toi.

Et bien sûr, n’oublie pas que le temps et l’entraînement sont les clés de la réussite.
Mais qu’ils ne dépendent que de toi.

Melancholya

 

 

 

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