Tu l’as sans doute remarqué…
A la fin de chaque post que je t’envoie…
Je te dis :
entraînement

« Souviens toi : le temps et l’entraînement sont les clés de la réussite.
Mais ils ne dépendent que de toi. »

A la base, je n’avais pas du tout prévu d’avoir une phrase finale signature.
Mais quand je l’ai écrite dans mon premier post…
J’y ai adhéré.
Je l’ai trouvée très pertinente.
Très forte.
Très parlante.
Et très vraie.

Et finalement, elle résume assez bien l’idée que je veux faire passer en accompagnant les gens.
On n’obtient rien sans rien.
On ne progresse pas sans s’entraîner.
On ne devient pas expert du jour au lendemain.

Cela demande d’y consacrer du temps.
Et d’y mettre du sien.
De s’entraîner.
De s’exercer.
De se former.

Il faut aimer apprendre.
Et accepter d’être toujours un débutant.
Les progressions sont souvent lentes.
Et elles se méritent.

Il est vrai…
C’est parfois très difficile.
Mais avec de bons outils…
De la détermination…
Et de la persévérance…
On finit par y arriver.

A condition de s’amuser.
Et de savoir pourquoi on le fait.

Pourtant, aujourd’hui, nous avons du mal à garder cela à l’esprit.
Moi la première.
Nous courrons après le temps.
Nous avons des dizaines de choses à gérer quotidiennement.
Nous sommes la plupart du temps dépassés.
Et nous n’avons pas toujours le temps de nous consacrer à ce qui nous importe vraiment.
Souvent…
Nous nous oublions.

Pourtant, il est si important de s’accorder du temps.
De cibler ce que l’on veut vraiment.
D’arrêter d’être trop exigeant envers soi-même.
Et simplement de retourner à l’essentiel.

C’est ce que j’ai fait en arrêtant le salariat pour devenir photographe à plein temps.
Il m’étais impossible de continuer à cumuler les deux.
Au quotidien, c’était douloureux.
Il m’a fallut choisir.
Et finalement, ce choix était déjà en moi.
Depuis bien longtemps je crois.
Mais je ne pouvais le voir.

J’étais aveuglée par des peurs.
Par de fausses perceptions.
Par des « il serait mieux que je fasse cela ».
Ou des « c’est trop risquait si je fais cela ».
Et souvent, c’était au détriment de moi.
De ce qu’il me fallait.

Alors, c’est tout le message que je souhaite te faire passer :
Ne perds pas de vue ce que tu souhaites.
Ecoute ton cœur.
Ton âme.
Ta joie.
Et tes rancœurs.
Ils sont les guides de ton bonheur.
Ce sont tes guides dans tes douleurs.
Et nous avons toujours le choix.

Alors souviens toi : le temps et l’entraînement sont les clés de la réussite.
Mais ils ne dépendent que de toi.

Melancholya

 

 

 

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